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WBTi invitée par l'ADLF Association des lactariums de France

Lors des journées ADLF (Association des lactariums de France), la WBTi a pu présenter son Rapports WBTi France et souligner les points de convergence avec le travail des lactariums.

 

Même si la WBTi n'intervient pas directement dans la promotion du don de lait, nous avons dès novembre 2016 cherché le contact avec les lactariums dans la mesure où ils sont des acteurs dans le monde de l'allaitement.

 

Grâce à la conférence donnée par le Dr Delphine Lamireau (CHU Bordeaux) dans le cadre du Séminaire de LLL France, nous avons pu mesurer tout le travail effectué pour récolter et traiter le lait de donneuses.

 

En janvier 2017, nous avons rencontré le Dr Virginie Rigourd (CHU Necker, Paris) qui a rédigé un topo sur sont travail qui est publié à l'indicateur 6 (Soutien aux mères).

 

Etre invitée aujourd'hui aux Journées ADLF consolide ce partenariat et la synergie entre une politique d'allaitement bien menée, et des lactariums qui fonctionnent bien.

 

Car, pour recueillir des dons de lait, il faut s'occuper en amont de la matière première : le lait maternel (LM), il faut donc s'occuper de la femme qui allaite... A cet égard, la France a stagne en termes de taux d'initiation à l'allaitement :

 

Au regard des statistiques, nous perdons déjà 5 points entre la naissance et la sortie de maternité (cf. Epifane 2012, on passe de 73,7 % à 69 %). C'est avant tout à imputer aux faibles moyens investis dans l'accompagnement de l'allaitement à la naissance, eux-même la conséquence de coupes budgétaires.

 

Mais l'allaitement n'est pas simplement une question de "taux" ou de chiffres, il s'agit d'un ensemble !

Prenons l'exemple de la Norvège : l'allaitement, l'accompagnement, la valorisation du lait maternel, tous ces aspects sont en synergie. Et le nombre de lactariums est un signe de cette culture d'allaitement vivante.

Sur la base du Rapport WBTi France, voilà quelques recommandations qui se conjuguement parfaitement avec les intérêts des lactariums.

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